Nos engagements RSE

Enjeu clé pour l’ONU, l’accès à l’enseignement permet de rompre le cycle de la pauvreté et d’accéder à un emploi, contribuant à la réduction des inégalités et à une croissance durable. L’éducation est essentielle à la tolérance entre les peuples, elle assure la transmission du patrimoine et des savoir-faire.

Créée en 2012 avec le soutien de Van Cleef & Arpels, l’école des Arts Joailliers propose aux passionnés un enseignement autour de l’histoire du bijou et des savoir-faire. L’école a déjà reçu 35 000 élèves, via ses sites de Paris et Hong Kong.

Ce programme -initié par le Comité Colbert en collaboration avec l’Ensaama- propose à des étudiants en fin de cursus de travailler sur des sujets proposés par des professionnels du luxe. Façon de sensibiliser une nouvelle génération de designers et, pour les maisons, de poser un regard neuf sur leur identité de marque.

Les femmes et les filles représentent la moitié de la population mondiale, et donc de son potentiel. Droit fondamental, l’égalité entre les sexes est essentielle pour promouvoir la croissance économique et le développement social. Selon l’ONU, la pleine participation des femmes sur le marché du travail mondial augmenterait jusqu’à 10% les taux de croissance nationaux.

Depuis 2006, Cartier accompagne les femmes à la tête d’entreprises qui contribuent à trouver des solutions durables pour l’avenir de notre planète. Chaque année, plus de 1 million de dollars sont répartis entre les projets de 21 lauréates.

Depuis 2011, la Fondation Chanel agit pour améliorer la situation économique et sociale des femmes dans le monde ; soutenant des projets autour de l’éducation, la santé, la protection sociale ou l’environnement.

Selon l’Organisation Internationale du Travail, 2,2 milliards de personnes vivaient en deçà du seuil de pauvreté avant la crise du Covid 19, qui a amplifié encore leur fragilité. L’ONU promeut une croissance économique durable et inclusive, défi relevé aussi par les maisons du Comité Colbert.

Durement touchée par la pandémie, la filière reçoit le soutien de la maison qui a établi un partenariat avec la Haute Ecole de Joaillerie pour épauler les jeunes en apprentissage. Elle finance aussi l’intervention d’experts-comptables pour aider les artisans en difficulté à constituer les dossiers permettant de percevoir les aides de l’état.

La maison développe un projet de modernisation de sa production qui lui a permis de bénéficier du « fonds d’accélération des investissements industriels dans les territoires » initié par le ministère de l’Economie. Il vise à accroître la compétitivité de la maison, créer de 60 à 90 emplois et réduire l’impact environnemental des activités.

L’innovation et les progrès technologiques sont indispensables à l’avènement d’une croissance durable. Fort de cette conviction, l’ONU milite pour une industrialisation durable et juste. Autant d’objectifs essentiels pour les états, et les entreprises.

L’ensemble des papiers utilisés pour le packaging de la maison est certifié FSC et contient au moins 40% de fibres recyclées. Balenciaga s’engage également à limiter l’utilisation d’emballages à usage unique.

La maison a initié un programme de recherche variétale dès 2016, en collaboration avec des chercheurs (INRAE, BNIC). L’objectif ? Créer de nouveaux cépages plus résistants aux maladies et mieux adaptés aux changements climatiques.

En finir avec les modes de production et de consommation qui provoquent des dommages irréversibles sur l’environnement. Le défi est relevé par les états, les associations, les ONG… Il fait partie des enjeux clé de l’univers du luxe.

La maison a lancé, en 2019, la collection d’accessoires Be Mindful à partir d’accessoires textiles inutilisés. Ces modèles s’inscrivent dans la démarche globale d’écoconception de Louis Vuitton, qui vise les 100% en 2025.

Procédé d’exception dans l’univers de la porcelaine, l’incrustation se révèle très polluant. La maison a choisi de le remplacer par la technique du sablage – utilisée pour le cristal- pour la décoration de ses collections. Façon de protéger l’environnement et la santé des artisans, en conservant la même volonté d’excellence.

Prendre toutes les mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions… L’objectif de l’ONU est partagé par les maisons de luxe qui font de ce défi une opportunité d’innovation, de transformation et de compétitivité.

Alors que 99% des produits de la maison sont exportés, moins de 0,5% transite par avion, le reste étant acheminé par train ou cargo. Hennessy a mis en place un ferroutage vers la Chine avec 10 000 km de rails qui suivent le trajet de la route de la soie. Résultat ? Des délais plus courts et des émissions de gaz à effet de serre 100 fois moins élevées que l’avion.

Inauguré en 2019 en Toscane, le nouvel atelier de maroquinerie de la maison a été conçu selon les normes les plus élevées de développement durable, grâce à l’utilisation exclusive de matériaux de construction recyclables.

Gérer durablement les forêts, lutter contre la désertification, enrayer et inverser le processus de dégradation des sols et mettre fin à l’appauvrissement de la biodiversité…
Ces combats sont l’affaire des états, comme des entreprises.

Elles sont l’emblème de la maison et les sentinelles de l’environnement. Pour protéger les abeilles menacées, la maison a créé le projet « Women for bees » destiné à former -d’ici 2025- 50 apicultrices et créer 2500 ruches, soit 125 millions d’abeilles.

La maison accompagne le développement d’une filière d’approvisionnement de fils de soie au Brésil. Elle participe ainsi à la préservation des biotopes feuillus à faible traitement chimique, le ver à soie se nourrissant uniquement de feuilles de mûriers non polluées.